JP du jour: Andrew Lane

Le rôle d’Andrew Lane chez Weber Shandwick est de trouver des façons intéressantes et innovatrices d’aider des marques de commerce et des entreprises à s’exprimer, et de voir le succès comme un état idéal hors de portée, qui pousse à toujours aller de l’avant. Quel conseil a t-il à donner aux autres jeunes professionnels? Découvrez-le aujourd’hui dans le JP du jour…

 

Résumez en quelques mots votre travail: Mon travail consiste à trouver des façons intéressantes et innovatrices d’aider les marques de commerce et les entreprises à s’exprimer de façon à défendre leurs intérêts, facilité la compréhension et obtenir des résultats.

Qu’est-ce qui vous a poussé à travailler pour cette compagnie?  D’où est venue l’inspiration de ce choix de carrière? Je me suis joint à Weber Shandwick, alors qu’ils étaient à la recherche d’un consultant pour les aider à développer leur offre numérique canadienne. Ce rôle m’offrait l’opportunité de faire de la formation et de donner des conseils à l’interne et aux clients, d’aider à rehausser le profil de l’agence, de développer des relations et des ressources afin de mettre en œuvre des idées créatives. J’aimais l’opportunité unique qui m’était offerte d’opérer cette multinationale, comme s’il s’agissait d’une compagnie en démarrage, ce qui me permettait de bénéficier de l’apprentissage et de l’expérience associés à ces deux idéologies.

Quelle est la meilleure partie de votre travail sur une base quotidienne? Quelle est la partie la plus laborieuse? Simultanément, la meilleure partie et la plus laborieuse de mon travail sur une base quotidienne est de travailler avec les gens, que ce soient des clients, des coéquipiers ou des collègues à l’intérieur ou à l’extérieur de la ville, et même du pays. Parce que nous travaillons avec des gens pour qui la notion de deux jours (ou deux heures) n’est pas la même, de toujours en subir les contrecoups vous tiens sur vos gardes.

Où vous voyez-vous dans 5 ans? Curieusement, je ne suis pas un amateur des plans de carrière sur 5 ans. Tout ce que je peux dire c’est que je ferai quelque chose qui me permettra encore de travailler avec des gens supers et de raconter de bonnes histoires. Le « où » trouvera son chemin seul.

À quoi ressemble le succès pour vous? Je vois le succès comme étant un état idéal hors de portée qui pousse à toujours aller de l’avant. Ce qui est important est d’avoir le sentiment d’être sur la bonne voie pour l’atteindre, tout en se concentrant à être une meilleure personne tous les jours.

Quel est le souvenir le plus mémorable de votre carrière? Il y en a eu plusieurs, mais je dirais l’opportunité que j’ai eue de parler lors de la convention annuelle du Parti Libéral du Canada, dans un segment intitulé « Red Talks » où des centaines de personnes y assistaient (incluant Justin Trudeau) et plusieurs autres milliers qui la suivaient en ligne. De vivre l’envers du décor de la scène gouvernementale fut une expérience enrichissante et passionnante ainsi qu’une leçon d’humilité que je n’oublierai jamais.

Avez-vous un conseil à donner aux autres jeunes professionnels? Faites confiance à vos mœurs, engagez-vous à travailler fort, traitez bien les autres et faites ce qui est bien.

Supportez-vous un ou des organismes de bienfaisance? Si oui, lequel ou lesquels et pourquoi est-ce important pour vous? J’essaie de supporter des causes et des fondations qui touchent et aident mes amis et ma famille à la fois. Pour cette raison, les causes telles le cancer du sein, de la prostate et la recherche sur la sclérose en plaque, me tiennent à cœur.

Qu’est-ce qui est « notable » pour vous? Quand quelqu’un ou quelque chose me mène vers une solution que je n’aurais jamais imaginée moi-même. Quelque chose de « notable » devrait élargir votre vision, et vous obliger à réfléchir davantage sur le pourquoi.

Blackberry, iPhone, Android, ou autres? iPhone pour le moment (mais j’ai un œil sur le Galaxy SIII)