La Philanthropie Corporative Enrichit le Paysage Culturel Canadien

Presented by:

Nat

 

 

 

Les invités sont inspirants et les décors envoûtants. Tout est de niveau international, en passant par la musique et la gastronomie. Ce qui méritait un “peut-être” est maintenant un événement incontournable.

Et si vous ne pouvez point y aller, vous risquez de manquer le bateau.

En effet, le calibre des initiatives et des événements culturels au Canada a atteint un niveau plus élevé ces dernières années, un changement provoqué en grande partie par le désir croissant des jeunes professionnels et de leurs compagnies respectives de devenir plus philanthropiques.

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Cela commence, bien sûr, au niveau individuel. Les Canadiens issus de la génération Y accordent aujourd’hui une importance capitale à la responsabilité sociale dans leur mode de vie professionnel – il n’est plus question seulement du bar ouvert ; il s’agit également de rendre à la communauté ce qu’elle leur a donné, contribuer à des échanges culturels et consacrer du temps et des connaissances à des causes qui leur tiennent à cœur.

Nous le voyons au quotidien : les jeunes professionnels et entrepreneurs que nous présentons s’attendent à bien plus qu’un chèque de paie comme récompense pour leur travail. Ils veulent se sentir attachés à et engagés envers leur communauté, et ainsi contribuer à son progrès. Que ce soit par des services de financement participatif, comme Kickstarter, ou bien des campagnes de marketing viral sur les réseaux sociaux, cette génération est à l’affût des approches philanthropiques les plus novatrices.

Environmentalist Volunteers --- Image by © Simon Jarratt/Corbis

Environmentalist Volunteers — Image by © Simon Jarratt/Corbis

Et les compagnies sont à l’écoute. Du niveau communautaire jusqu’au niveau corporatif, d’un océan à l’autre, les entreprises adaptent leur culture corporative afin de refléter les valeurs de leurs jeunes employés appartenant à la génération Y. Autrefois, il suffisait de jeter de l’argent dans des événements culturels pour la gloire superficielle d’avoir une place sur la liste des commanditaires.

Plus maintenant.

Maintenant, elles se posent des questions sur les initiatives qu’elles soutiennent : comment peuvent-elles enrichir les vies de leurs employés ? Y a-t-il des bienfaits au long terme ? Comment peut-on avoir un plus grand impact ?

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De grandes institutions, comme la Banque Nationale, entretiennent un engagement fructueux envers la responsabilité sociale depuis plusieurs années, contribuant par des dons ou bien par une participation directe aux universités, aux sports amateurs, à la recherche sur le cancer, aux fondations à but non-lucratif faisant la promotion de l’esprit entrepreneurial, pour l’engagement des employés, ainsi qu’aux services essentiels, comme le Club des petits déjeuners du Canada (Breakfast Clubs of Canada).

Le mot d’ordre n’est plus commandite – c’est philanthropie. Et c’est du gagnant-gagnant-gagnant. Les compagnies retiennent des personnes de talent en reflétant les principes de leurs jeunes employés ; les travailleurs se sentent plus engagés dans leur travail ; et enfin, les institutions tirent avantage de contributions monétaires significatives, ainsi que des bienfaits qu’apporte un réseau actif et engagé.

En fait, vous pouvez témoigner directement de cette connexion entre compagnies, employés et leur communauté ce jeudi, 9 juin, au 5 à 9 au McCord, pour une soirée de dolce vita pleine de surprises.

On se voit là-bas.

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