Genevieve Allen est la propriétaire de ‘Violet Boutique’ sur South Granville, offrant aux adeptes de la mode à Vancouver une bonne raison de ranger leurs fringues de yoga. D’où est venue l’inspiration d’une telle direction entrepreneuriale? Lisez-le dans la quotidienne du JP du jour…
Résumez en quelques mots votre travail: Je suis la propriétaire de Violet Boutique de la rue South Granville à Vancouver. C’est une petite boutique pour les femmes qui désirent de belles confections colorées et personnalisées de designers contemporains de New York et Paris.
Qu’est-ce qui vous a poussé à travailler pour cette compagnie? D’où est venue l’inspiration de ce choix de carrière? J’avais toujours rêvé d’avoir ma propre boutique. J’imaginais créer un endroit magnifique où je pourrais emmener mon chien au travail, discuter et flâner avec les clients, entourée de séduisants vêtements et accessoires.
Quelle est la meilleure partie de votre travail sur une base quotidienne? Quelle est la partie la plus laborieuse? La partie la plus enrichissante de ma journée est de créer un look inspirant pour une cliente, de faire des recherches et de rester à l’affût des dernières tendances pour mon magasin, tout en écrivant mon blog et en prenant quelques pauses pour lancer la balle, ici et là, à Béatrice, mon Boston Terrier.
La partie la plus difficile est le côté administratif, les calculs, et les nombreuses (mais gratifiantes) responsabilités d’être à son compte. La plus belle partie est d’avoir la liberté de transposer ma propre vision.
Où vous voyez-vous dans 5 ans? Continuant d’importer de nouvelles lignes excitantes à Vancouver, et de faire ma part pour garder les vancouveroises à la mode et hors de leurs vêtements de yoga.
À quoi ressemble le succès pour vous? Le succès est d’avoir la satisfaction d’avoir accompli mon travail le mieux possible et d’en voir les résultats. C’est aussi dans les petites victoires; trouver la robe parfaite pour l’occasion spéciale d’une cliente, aider certains à accroître leur estime de soi en changeant la façon dont ils se perçoivent et se sentent, communiquer avec une cliente pour l’informer des nouveautés qui lui plairont et pour qu’elle se sente privilégiée, enfin, en inspirer d’autres à s’amuser avec la mode.
Quel est le souvenir le plus mémorable de votre carrière? Il y en a eu tellement; de la journée de l’inauguration, aux articles dans Flare et Fashion Magazine, à célébrer le quatrième anniversaire en octobre…
Avez-vous un conseil à donner aux autres jeunes professionnels? N’ayez pas peur de l’échec et acceptez de l’aide quand vous le pouvez. Emmagasinez le plus d’expériences pratiques possible avant de faire le grand saut. Soyez conscients de vos forces et de vos faiblesses et soyez prêts à réagir rapidement quand les choses ne vont pas telles que planifiées.
Supportez-vous un ou des organismes de bienfaisance? Si oui, lequel ou lesquels et pourquoi est-ce important pour vous? Je suis l’avocate du diable pour la défense des animaux. La SPCA, Big Hearth Rescue Society et le British Columbia Foundation For Non Animal Research sont les organismes dans lesquels je crois de tout cœur.
Qu’est-ce qui est « notable » pour vous? Faire preuve de bonté et de gentillesse. Vivre sa vie avec style et grâce, et de prendre le temps d’apprécier les beautés du monde.
Blackberry, iPhone, Android, ou autres? iPhone.
Décrivez votre retraite idéale: à quel âge pensez-vous la prendre et comment envisagez-vous passer votre temps? La retraite semble loin, encore bien loin. J’aime beaucoup mon travail, et je crois que le contact avec mes clients, les voyages à New York et pouvoir voir les collections avant tout le monde, me manquerait énormément. J’espère que j’aurai toujours ma boutique, mais ce serait bien de pouvoir déléguer afin de m’occuper que de la partie amusante, et de laisser le soin à quelqu’un d’autre de voir à la comptabilité et à la partie stressante.
À quoi avez-vous le plus hâte à la retraite? Lire le journal en entier, prendre le Cafe au lit, faire de longues balades avec mon chien, lire, cuisiner et voyager.