Dimitri Zoumboulakis est fiscaliste chez Richter, un consultant en services-conseils financiers et de fiscalité aux entreprises, avec des bureaux à Montreal et à Toronto. Découvrez comment il s’efforce d’exceller dans son domaine et d’octroyer un service supérieur à ses clients dans le JP du jour…
Résumez en quelques mots votre travail: mon travail consiste à la planification fiscale, à la restructuration d’entreprises, à donner des conseils fiscaux et de conformité. Essentiellement, tout ce qui est d’ordre fiscal fait partie de mon quotidien. Cependant, au-delà des chiffres, je joue également un rôle actif au sein des entreprises de mes clients, en leur fournissant des services à valeur ajoutée et en les conseillant sur diverses questions qui vont au-delà de celles reliées à l’impôt.
Pourquoi avez-vous commencé à travailler dans cette compagnie? Quelle fut l’inspiration de ce choix de carrière? J’ai commencé à travailler chez Richter pour sa culture interne. La minute où j’ai franchi la porte, je me suis senti à la maison, et je savais que je cadrerais bien avec l’endroit. De plus, la clientèle de Richter compte un nombre significatif d’entrepreneurs, et ayant grandi dans un environnement où plusieurs membres de la famille et amis ont démarré leurs propres entreprises, je pouvais facilement m’identifier aux clients et créer des relations étroites avec eux.
J’ai d’abord étudié en sciences, et en suivant plusieurs cours de comptabilité à l’université, j’ai réalisé qu’elle était ma vraie passion. Mon inspiration est venue de mon amour pour les chiffres et les gens. La carrière que j’ai choisie me permet de rencontrer et d’interagir avec différentes personnes à tout moment.
Quelle est la meilleure partie de votre travail sur une base quotidienne? Quelle est la plus laborieuse? Depuis que je suis jeune, j’aime relever des défis, et mon travail au département de l’impôt des corporations pousse nettement mes limites. Je travaille dans un milieu où je dois continuellement être à l’affût des nouvelles lois et règlementations, qui sont en constante évolution. Afin de fournir l’information la plus fiable à mes clients, cela requiert un certain niveau de dévouement et de discipline, afin de continuellement affiner mes connaissances.
Où vous voyez-vous dans 5 ans? Dans cinq ans, je me vois avoir atteint assez d’expérience et d’expertise pour être non seulement un conseiller de confiance pour mes clients, mais un spécialiste et un stratège dans mon domaine.
À quoi ressemble le succès pour vous? Pour moi, le succès se définit par l’atteinte des objectifs que je me suis moi-même fixés (à partir d’une liste toujours croissante). Mais, c’est plus que de seulement les réaliser. Si j’évolue, j’apprends et je m’amuse dans mon travail, je me considèrerai toujours comme ayant du succès.
Quel est le souvenir le plus mémorable de votre carrière? Je dois dire que mon premier jour chez Richter est, jusqu’à ce jour, mon souvenir le plus mémorable. C’est le jour où j’ai réalisé que j’avais fait le bon choix de carrière et le bon choix de firme.
Les jours où les choses ne vont pas comme prévu, je me sers de cette première journée comme d’un rappel de tout ce que j’ai accompli et appris au cours des quatre dernières années, mais aussi, de tout ce qui me reste encore à concrétiser. De penser à ce jour me rassure que tout ira bien.
Avez-vous un conseil à donner aux autres jeunes professionnels? J’ai deux conseils à donner. Le premier est d’être passionné par ce qu’ils font et de toujours essayer d’être le meilleur. Le deuxième est de développer un réseau de contacts, c’est un atout précieux.
Appuyez-vous un ou des organismes de bienfaisance? Si oui, lequel ou lesquels et pourquoi est-ce important pour vous? En 2012, j’ai eu le privilège d’être un jeune ambassadeur de la mission éducative de l’Orchestre symphonique de Montreal. Je suis très passionné de cette organisation en raison de la possibilité qu’elle offre aux jeunes d’apprendre la musique, en plus d’ouvrir leurs yeux et leurs oreilles à quelque chose dont ils n’auraient peut-être pas accès autrement.
J’ai aussi eu le plaisir de siéger au comité de la campagne de financement de Richter pour Centraide. Je remercie d’ailleurs le comité pour ses efforts et les employés pour leur générosité, puisque nous avons amassé plus de 125 000$ pour ceux dans le besoin.
Qu’est-ce qui est notable pour vous? Je dirais n’importe qui (ou n’importe quoi) qui se démarque de la norme. Dans le cas de personnes, que ce soit leur confiance, leur originalité, leur créativité ou leur ingéniosité, souvent, on se surprend à penser à elles quelques jours plus tard.
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